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Jaha Dukureh est l’ambassadrice de bonne volonté d’ONU Femmes pour l’Afrique. Activiste de renom, elle est elle-même une survivante de mutilations génitales féminines (MGF) et du mariage d’enfants. Du 19 au 27 novembre 2022, Jaha Dukureh a entrepris une mission au Liberia pour aider le gouvernement libérien dans ses efforts visant à éliminer toutes les formes de violence à l’égard des femmes et des filles, y compris les pratiques néfastes telles que la MGF et le mariage d’enfants.
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Libanaise de 26 ans, Salma* est mère de 3 filles. Elle avait 13 ans lorsqu’elle s’est enfuie avec son voisin de 16 ans. Cherchant à échapper à une belle-mère abusive, elle pensait que le mariage lui offrirait la liberté. Malheureusement, il a été la porte ouverte à d’autres abus et violences.
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Anastasia Perepylytsia, âgée de 44 ans, connaît bien les déplacements. En 2014, elle avait un emploi stable dans le secteur financier et vivait une vie normale avec son mari et ses deux enfants à Donetsk, dans l’est de l’Ukraine. Mais lorsque l’armée russe a envahi sa ville natale, elle a dû fuir avec sa famille jusqu’à Zaporizhzhia, une ville située sur les rives de la rivière Dnieper dans le sud-est du pays. Et lorsque la guerre a commencé en 2022, elle a dû partir une nouvelle fois, en allant s’installer à Novovolynsk dans l’ouest de l’Ukraine. Au début, elle a eu du mal à trouver un emploi, des informations ou un soutien psychologique – jusqu’à ce qu’elle tombe sur le projet « Mobilisation communautaire pour l’autonomisation » d’ONU Femmes.
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Je m’appelle Mahbouba Seraj. J’ai 74 ans. Je suis une activiste et une défenseuse des droits des femmes, et je vis en Afghanistan. Historienne de formation, j’ai choisi de rester en Afghanistan pendant les 12 derniers mois pour assister à ce qui se passe dans mon pays et chez son peuple, ainsi que pour travailler en faveur d’un meilleur Afghanistan, qui doit nous appartenir à toutes et tous.
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Najiba*, âgée de 45 ans, est une mère, ancienne professeure et conseillère d’université qui aide les femmes à guérir de leurs traumatismes en Afghanistan. Malgré les menaces et les restrictions à sa liberté de se déplacer, elle continue à montrer aux femmes comment apprendre à guérir.
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Zarina*, âgée de 28 ans, est une jeune entrepreneure afghane. Son désir d’innovation et sa passion pour la pâtisserie ont fait d’elle l’une des plus jeunes entrepreneures d’Afghanistan. Son activité se poursuit, mais ses clients sont rares et ses plans d’expansion à l’ensemble du pays ont dû être abandonnés.
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Nasima*, âgée de 36 ans, est une artisane de la paix et une activiste des droits des femmes. Elle a vécu en Afghanistan toute sa vie. Après le 15 août 2021, elle a continué à travailler en Afghanistan, dans ce pays qui allait présenter peu de temps après l’une des situations d’urgence humanitaire les plus complexes au monde.
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Mariam*, qui a 47 ans, a vécu avec un mari violent pendant 17 ans avant de le quitter en 2018 après avoir demandé la protection et l’aide juridique de la KAFA, une organisation non gouvernementale libanaise et partenaire d’ONU Femmes. Grâce aux services juridiques et au soutien qu’elle a reçu d’eux, Mariam a pu accéder à la justice et retrouver la force qu’elle croyait avoir perdue.
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Miriam Coronel-Ferrer a marqué l’histoire en tant que première femme négociatrice en chef au monde à signer un accord de paix final avec un groupe rebelle, le Front islamique de libération Moro aux Philippines en 2014. Aujourd’hui, elle enseigne les sciences politiques à l’Université des Philippines et travaille auprès des Nations Unies dans le domaine de la médiation.
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Françoise Gbeko, 36 ans, était l’une des nombreuses femmes chrétiennes ayant épousé un homme musulman qui vivaient dans l’harmonie en République centrafricaine (RCA) jusqu’à ce que la dernière crise éclate en décembre 2012. Malgré le court répit qui a suivi l’Accord de paix signé en février 2019, on estime le nombre de personnes ayant besoin d’une aide humanitaire à 2,6 millions (soit 63 pour cent de la population), dont la moitié composée de femmes et de filles.
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Madina Mousa a fui la guerre en Syrie avec sa famille en 2013, et elle vit à présent dans le camp de réfugiés de Kawergosk, dans la région du Kurdistan en Irak. Elle a commencé à faire du bénévolat pour aider d’autres réfugiés, et elle travaille maintenant en tant que responsable de la protection auprès de l’organisme d’autonomisation des femmes OAF, partenaire local d’ONU Femmes mettant en œuvre le programme régional « Renforcer la résilience des femmes et des filles syriennes et des communautés hôtes en Irak, en Jordanie et en Turquie », qui est financé par l’Union européenne dans le cadre du Fonds fiduciaire régional de l’UE en réponse à la crise syrienne (Fonds MADAD).
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Nur Omar est une femme syrienne contrainte à se réfugier à Gaziantep après avoir dû fuir Alep avec ses six enfants en 2014.
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Mereng Alima Bessela est une entrepreneure à succès originaire de Ntui, dans la région centrale du Cameroun. Âgée de 50 ans, elle produit du cacao, une activité traditionnellement assurée par des hommes, et elle possède son propre restaurant ainsi qu’une ferme piscicole.
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L’an dernier, la journaliste primée Bettie Johnson Mbayo du magazine Frontpage Africa a traversé le sud-est du Liberia pendant 16 heures en moto à la recherche d’une fille de 13 ans qui avait été violée par un législateur. Suite au viol, la fille est tombée enceinte, ce qui a suscité l’indignation des femmes au Liberia et de la diaspora. Bien qu’elle ait été la cible de menaces, Mme Mbayo a poursuivi son enquête sans relâche, suivant des pistes sur les médias sociaux et interviewant des membres de la famille de la victime, des voisins, des responsables de son école et des agents de police. Grâce à l’enquête qu’elle a menée, l’auteur allégué a été arrêté.
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Aiman Umarova est une avocate kazakhstanaise reconnue qui milite en faveur des droits fondamentaux et se spécialise dans les crimes sexuels perpétrés contre des femmes et des enfants, ainsi que dans les crimes liés à l’extrémisme violent et la torture. Mme Umarova collabore avec ONU Femmes lors des 16 Jours d’activisme contre la violence basée sur le genre et apporte un soutien spécialisé dans le cadre des projets d’ONU Femmes visant à éliminer la violence à l’égard des femmes au Kazakhstan. Elle a dédié sa vie à la lutte contre la violence à l’égard des femmes, malgré des menaces de violence dont elle-même a été la cible. Elle a fait l’objet de nombreuses tentatives d’assassinat, d’actes d’intimidation et de diffamation anonyme.
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Emmanuella Zandi Mudherwa, âgée de 21 ans, a fondé sa propre organisation à but non lucratif « Ma voisine » à Kinshasa, en République démocratique du Congo, dont le but est d’encourager l’autonomisation des filles par les filles. Elle compte aujourd’hui 12 000 membres dans tout le pays et collabore avec ONU Femmes dans le cadre d’initiatives de sensibilisation à la violence faite aux femmes.
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Elisa Zepeda Lagunas, une ingénieure en aquaculture de 34 ans, est une dirigeante autochtone mazatèque et une défenseure des droits des femmes qui a fait l'objet d'une extrême violence en raison de son activisme politique.
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Aissa Doumara Ngatansou, âgée de 46 ans, est mère de trois enfants ; elle est originaire de la région Extrême-Nord du Cameroun. En 1996, elle a cofondé une antenne de l’Association de lutte contre les violences faites aux femmes (ALVF) dans la ville de Maroua. L’ALVF vient en aide aux survivantes et plaide auprès des décideurs et décideuses pour mettre fin aux mariages précoces et forcés, ainsi qu’aux autres formes de violence basée sur le genre.
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Hajer Sharief est la cofondatrice de l'organisation « Together We Build it », qui entend promouvoir une transition démocratique pacifique en Libye, ouverte aux femmes et aux jeunes. L’organisation s’emploie à promouvoir les résolutions 1325 et 2250 du Conseil de sécurité des Nations Unies (UNSCR), respectivement sur les femmes, la paix et la sécurité, et sur la jeunesse, la paix et la sécurité, et à encourager les jeunes femmes à participer activement au processus de consolidation de la paix en Libye.
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Tanya Gilly Khailany, originaire du Kurdistan irakien, est une ancienne députée irakienne (de 2006 à 2010) et une co-fondatrice de la Fondation SEED, une organisation qui travaille avec les victimes de violences et du trafic des personnes en Irak. Fervente militante des droits des femmes, Mme Gilly Khailany a été l’une des principales députées à promulguer la loi sur le quota de 25 pour cent de femmes aux conseils provinciaux en Irak.